Défi #2 : Maman, les p'tits bateaux ...

Fan de RP ? Vous adorez ça ? Ca vous interesse de gagner des diamants en vous amusant Suivez moi

Le But

Un sujet est ouvert. Par exemple : "Defi #1 - Thème (CI, Film...)". Ensuite, le contexte y est mis. Ex : "Vous êtes à la pêche et, après un mauvais mouvement, vous tombez à l'eau. Un requin arrive. Que faites-vous ?".

Pour participer, poster simplement à la suite. Trois participants sont acceptés.

Pour les recompenses... Le Gagnant recoit 75 diamants et les Suivants reçoivent 35 Diamants. Le texte doit être cohérent et de qualité. C'est minimum 10 lignes. Si vous en faites plus et que le texte est toujours de qualité, il y aura une prime de 15 Diamants.

Bonne Chance

j'en suis ! Wink

Invité

C'est parti !!!

Contexte :

Vous voyagez sur un magnifique paquebot. Un soir, alors que vous êtes en petite tenue dans votre chambre, vous entendez un cri dehors. L'esprit chevaleresque, vous sortez immédiatement avant de vous rendre compte de votre accoutrement.
Vous pivotez pour revenir vous habiller, mais ... la porte de votre chambre claque et vous n'arrivez plus à l'ouvrir !
Comment réagissez-vous ?

Une troisième personne peux rejoindre le défi.

date de cloture : Dimanche 19 Octobre 21h

Invité

Sa va être amusant, je me met à rédiger.

ok! ça ne sera pas triste lol!

Quelle situation embarrassante ?

Oui, c’est moi, là. Jess Owen, vous connaissez ? Probablement pas mais quelle importance
Physiquement, on peut dire je ne suis pas trop moche à regarder, nombre de filles vous le confirmeront, du reste. 1m85, cheveux blonds qui ondulent quand ils sont plus longs, mirettes azurées et musculature seyante. Je ne suis pas un Adonis, restons modeste, mais je me défends.
Ce soir-là, il m’en est arrivé une bien bonne.
Figurez-vous que j’avais un rencard avec une très jolie plante levée par hasard lors qu’un cocktail animé sur ce magnifique paquebot nommé le Méredith II. Elle disait s’appeler Isabella Wordpell et tout en elle appelait l’aventure. Fine, déliée, traits d’ange, corps de déesse embaumé de parfums suaves… un rêve. J’étais donc sur un petit nuage, prêt à passer une soirée riche en rebondissements.
Comme il se doit, je fis une toilette plus poussée encore qu’à mon habitude. Je passai près d’une heure dans l’eau mousseuse de mon bain à bulles ; histoire d’être plus propre qu’un sou neuf. Après un tour chez la manucure et la pédicure dans l’après-midi ; le coiffeur du bord m’avait rasé de frais en rectifiant légèrement ma coupe de cheveux. Je tenais à montrer mon meilleur jour, cela va de soi.

Là, en tenue d’Adam, pomponné et lotionné, je me penchai sur le tiroir de la commode à la cherche du sous-vêtement le plus adapté à la situation souhaitée future. J’hésitais beaucoup.
Si un caleçon blanc à cœurs roses me tentait beaucoup, je craignis qu’il ne reflétât pas complètement mon tempérament guerrier. Le genre string n’étant pas mon fort, j’optai pour un box tout simple de couleur noire. Assis sur le bord du lit, le slip posé à proximité, j’enfilais des chaussettes pure soie lorsque, soudain, je perçus des hurlements stridents en provenance du couloir.

* Des appels au secours ? Une femme !*

N’écoutant que mon courage, je bondis vers la porte que j’ouvris à la volée. Plusieurs personnes pointaient déjà leur tête curieuse dans le passage entre les cabines. Inconscient de mon appareil, je demandai à la première rencontrée :

Que se passe-t-il ? Qui a crié ?

Cette dame d’une bonne septantaine d’année ouvrit des yeux comme des soucoupes en me dévisageant de la tête au pied en s’attardant sur…

*Seigneur ! *

J’étais là, planté au milieu du couloir, seulement vêtu de chaussettes ! Les joues en feu, oubliant mes idées de sauvetages d’une belle en détresse, je voulus rebrousser chemin.
Catastrophe : la porte en avait profité pour claquer derrière moi !
Fébrile, je m’acharnai sur la poignée qui refusa obstinément sa fonction sans la carte magnétique adaptée. Je restai bêtement collé face au panneau, offrant mes fessiers rebondis aux regards offusqués des passagers en balade. Les idées à l’envers, torturé entre un sentiment d’impuissance et de honte, je clamai à tout va :

Quelqu’un aurait-il la bonté d’appeler un steward, s’il vous plaît ?

Manifestement, si certains étaient outrés de ma position, la majorité en rigolait.
Une dame qui faisait sortir de sa cabine un gamin de cinq ans, lui mit la main sur les yeux, le rentrant vivement à l’intérieur en claironnant :

Sale exhibitionniste !

J’étais cloué au pilori, victime de mon étourderie.
Puisque nul ne semblait se soucier de me secourir, je décidai de gagner la lingerie. Il y en avait une pas loin de ma cabine mais, dans ce simple apparat, la distance me parut fabuleuse.
Progressant tel un crabe, toujours le nez collé à la cloison, je progressai lentement, bouchant mentalement les oreilles aux quolibets déclenchés sur mon passage. J’eus une chance incroyable, pas une des portes des cabines que je léchais ne s’ouvrit durant ce trajet. Enfin vint la pancarte tant attendue. Eperdu, je l’embrassai d’un baiser reconnaissant avant de m’engouffrer dans la pièce.
En nage après cet enfer, je me fis l’effet d’arriver dans un paradis. Devant moi, sur diverses étagères, draps, serviettes, nappages immaculés n’attendaient que ma bonne volonté. Prestement, je m’en emparai. Avec des gestes un peu maladroit, je parvins à m’entortiller dans une large toile. Tentant de restaurer un semblant de dignité à mon ego amoché, je nouai une serviette du sommet de mon crâne jusqu’au bas du visage. Pas de miroir, hélas, pour juger de l’effet obtenu ; je crus pouvoir sortir sans risque d’être reconnu.
Prudent, toutefois, j’entrouvris la porte. Un coup d’œil à gauche, un à droite : la voie était libre. La plupart des passagers devait déjà se restaurer, j’avais hâte d’en faire autant, sachant qu’une délicieuse petite caille n’attendait qu’à être croquée à ma table.
Mon but à présent : trouver le steward avec son passe-partout. Furtivement, je me glissai dans le couloir, appelant mentalement à l’aide un quelconque membre de l’équipage.
Ouiii ! Au bout du corridor, impeccable dans son uniforme bleu roi, j’entrevis mon sauveur.
Galoper emmailloté d’un drap, vous avez déjà essayé ? Ben, je vous jure que ce n’est pas évident. Mon pied droit ne rata pas le pan du linge, je perdis l’équilibre. Il s’en fallut de peu pour que je ne m’étale de tout mon long. Un bras vigoureux me retint ; une voix hilare résonna en arabe :

Fatma ! Je te cherche depuis des heures, ma tourterelle. Tu croyais échapper à tonton Youssef ?

* Hein ?*

Ce n’était pas possible ! Ayant séjourné quelque temps en Iran, je captai ce qu’il racontait. Le gars enturbanné – un colosse – à côté de moi ne pouvait décemment pas me confondre avec…
Il m’entraîna à sa suite :

Tu es la seule femme du harem à posséder cette taille hors norme, ce qui plaît tant à notre seigneur. Allez, on rentre au bercail voir tes soeurs.

J’eus beau me débattre, il était beaucoup plus fort que moi. J’aurais pu mettre masque bas en gueulant un bon coup en anglais mais la curiosité l’emporta.
Cette nuit-là, je ne vous la raconterai pas. Sachez juste que « perdu » au milieu de dix femmes en attente du bon vouloir de leur maître, je fus servi mieux qu’un roi. Elles m’aidèrent même à m’échapper au petit jour comme quoi le hasard vous joue parfois de drôles de tours… et qu’à toute chose malheur est bon…

mdr

J'ai du mal à arrêter de rire !
Bien joué Jess.

Invité

Dit si une troisième personne peut mo je veux rédiger ça demain :p

Mais une question : on doit interprêter notre personnage ou celui qu'on veut?

Tu peux encore faire le défi Wink

Tu peux faire le perso que tu veux Wink

Invité

voilà un peu fais à l'arrache et un peu nulle devant angel XD

Aujourd'hui encore, comme à peu près tous les jours, une chose extraordinaire m'est arrivé. Quand je dis extraordinaire c'est qu'il 'y a que moi à qui ça peut arrivé hélas car cette fois ci ce n'était pas si joyeux que ça. Pour vous sûrement... vous rigolerez en me lisant vous raconter mais pour moi c'était loin d'être marrant quoi que maintenant en imaginant la tête que je pouvais bien faire je souris... Je sais que vous avez envie que je commence mais j'aime bien vous faire attendre alors je raconte un peu ma vie. Vous devez savoir qu'avec un groupe d'ami on c'était organisé un voyage sur un bateau. Quels amis? Si vous saviez... une total bande de fou. Bon il y avait moi... logique sinon il n'y aurait plus d'histoire. Moi les gens m'appelle Héloïse mais ils sont habitué par m'appeler par mon surnom : Asphin. D'ailleurs tous ceux qui sont venu au voyage, ou presque, ont un surnom mais pour éviter de vous perdre je ne dirais que les prénoms. Ensuite il y a Shanel ma cousine qui partage tous ce que je fais et vice versa. Il y a Charly, sûrement une des personnes les plus populaire de Toulouse ah oui parce que je viens de Toulouse. Il y a Yannik toujours là pour rigoler, Pauline qui sait toujours où sont les bonne soirée et Thomas qui est un peu boulet mais tellement sympa. Donc voilà imaginez ce que six amis habitué des fêtes peuvent donner sur un bateau.

Bref maintenant que les présentations sont faites je peux vous raconter mon aventure si on peut appeler ça comme ça. Nous étions au deuxième jour de croisière et déjà tout le monde nous avait repéré. Normal pendant le repas nous avons danser sur notre table et ensuite nous avons plongé dans la piscine habillé avant de faire une bataille de peinture que nous avions piqué sur le bateau. La routine quand on se retrouve entre nous en résumé. Donc deuxième jour... le soir plus précisément. Je sors de ma douche et m'apprête à aller m'habiller pour manger. Je commence à enfiler mes sous vêtements quand soudain j'entends un cri dehors. Évidemment avec mon courage et ma stupidité je sors de suite de la chambre en essayant de savoir ce qu'il se passe. Les gens sortent aussi de leurs cabine pour les même raisons que moi et heureusement que je n'étais pas dans le même couloir que mes amis car je me rendait compte que la plupart des garçons avaient les yeux rivé sur moi... Pourquoi me regardaient-ils tous comme ça? Mes yeux se baissèrent pour regarder mon corps à moitié nu et soudain je compris. Encore heureux que j'ai voté pour le boxer sexy noir plutôt que pour le string mais c'était quand même assez embarrassant. Je pliais mes bras sur moi en essayant de cacher le maximum de chose et je reculais, le jambes serrés et l'air timide. CLAP... hein? mais c'était quoi ce bruit là? On aurait dit une porte qui claque. On aurait dit ma porte qui venait de claquer pour être précise. Sans me retourner j'essayais d'attraper la poignet et de l'ouvrir... Suis je donc aussi bête que ça? C'était le genre de porte dont la poignet s'ouvrait grâce au clé... clé qui était dans la chambre qui était fermé à clé.

"Ouvre toi s'il te plait..."

Oui je parlais à la porte d'un air supliant en croyant qu'elle pouvait me répondre. Bon... reprenons notre souffle et réfléchissons. Dur dur quand on sait que des gens nous regarde alors qu'on est assez pudique comme ça. Bien... Héloïse imagine que tu es en maillot de bain. Facile à dire mais les autres ne le voit pas comme ça. Un jeune homme passa et me siffla... je lui répondit d'un air menaçant:

"Repasse dans le coin et je t'assure que tu te sentira moins homme!!!"

Il compris apparemment mon jeu de mot puisqu'il partit sans se retourner. Il fallait que je réfléchisse à comment me sortir de cette situation... Une idée traversa mon esprit comme une illumination. Je ne savais pas encore à ce moment là que ça serait pire mais bon il fallait tenter quelque chose. Je savais que la porte de mon voisin ne se fermait pas comme les autres... il me l'avait dit se matin quand je l'avais vu s'énerver contre sa chambre ce qui m'avait semblé bizarre. Je pouvais donc y rentrer et comme, en plus, il n'était pas sortit au cri, il ne devait pas être là. Juste un peignoir à prendre et c'était finit de cette honte. J'ouvrais sa porte doucement pour éviter de faire du bruit et la refermais derrière moi. J'entendais la douche couler à flôt... il était donc toujours là mais sous la douche et un peignoir se met dans la salle de bain. Quel situation... je n'avais plus le choix. J'entrais dans la salle de bain en esperant que mon cher voisin ait fermé son rideau de douche et c'était le cas. Déjà un soulagement en plus. Je pris doucement son peignoir quand soudain je remarquais que la douche le coulait plus... Ce silence me fit retourner la tête vers celle ci et le rideau était grand ouvert, laissant une vue assez effrayante sur un homme de quarante ans totalement nu et moi à moitié dénudé. Il me regarda d'un air allechant comme si j'était une surprise et me dit d'un air vieux dragueurs et pervers:

"Et bien je ne m'attendais pas à ça... je suis plutôt heureux de votre démarche joli créature..."

Je pris un air de dégoût... comment pouvait-il croire que j'avais envie de lui et que j'étais venu pour lui. Je mit le peignoir sur moi pour ne pas lui faire profiter de cette vu et je sortis en vitesse de cette chambre avant qu'il n'ai l'idée de me propulser sur son lit ce vieux pervers. J'entama une course dans les couloirs pour me diriger vers la chambre de shanel.

Elle me prêta des affaires pour la soirée mais ne s'empêcha pas de tout raconter mon histoire aux autres qui aurait voulu voir ça. Ce soir là je me fit toute petite en esperant que ce qu'il c'était passé serait oublié le lendemain. Imaginez ma tête quand mon voisin de chambre entra dans le restaurant et croisa mon regard en faisant des sursaut de sourcil...

Bravo !
Très beau récit ^^
J'attend plus que Max Wink

Invité

En cours ^^ A la derniere minute comme d'habitude !

Max !

Tu fais quoi ? On attend toujours !

Avec beaucoup (vraiment beaucoup !) de retard, je cloture ce défi.

1- Jess Owen = 75 diamants + 15 de bonus donc 90 diamants

2- Empereur Commode = 35 diamants + 15 de bonus donc 50 diamants

Merci à vous deux d'avoir participer !