Pierre Corneille

Nom : Corneille

Prénom : Pierre

Date de naissance : 6 juin 1606

Métier : Auteur

Histoire de votre personnage :

Ainsi de notre espoir la fortune se joue :
Tout s'élève ou s'abaisse au branle de sa roue.
Et son ordre inégal, qui régit l'univers,
Au milieu du bonheur a ses plus grands revers.
(L'Illusion Comique).

Et la Fortune voulut que le jeune Corneille vit le jour le 6 juin 1606, à Rouen, sous le règne d'Henri IV, alors que la France tentait péniblement de se relever de trente ans d'une guerre sanglante. Premier né d'une famille de six bambins, Pierre a la chance de passer une enfance somme toute heureuse et relativement insouciante. Descendant d'une famille de magistrats, fils du Maître des Eaux et Forêt du Vicomté de Rouen, Corneille appartient en effet à une caste bourgeoise plutôt aisée au sein de laquelle les soucis d'ordre matériel n'ont pas voix au chapitre. Une position sociale qui lui permet d'acquérir une solide éducation classique. Envoyé dès 1615 au Collège jésuite, le jeune garçon y étudie avec un intérêt plus ou moins avéré en fonction des sujets, le latin, le rhétorique, le grec, mais également la poésie et le théâtre. Bon élève, Pierre trouve au Collège son maître à penser, le père Claude Delidel, qui aura une influence esthétique et spirituelle considérable sur la vie de son jeune disciple.
Toutefois Corneille, en tant qu'aîné, semble destiné au barreau. Il entame donc, dès 1622, son droit, dans le but de devenir avocat, et ce bien que la charge ne lui plaise guère. Discipliné et conscient des attentes paternelles qui pèsent sur ses épaules, le jeune homme ne paraît pas encore envisager une autre carrière pour lui que celle prévue par sa famille. D'ailleurs, il ne fait que perpétuer la tradition familiale puisque ses ancêtres ont précisément bâti leur renom et leur fortune dans les tribunaux.
Le 18 juin 1628, diplôme en poche, Corneille prête serment au Parlement de Rouen. Il peut alors entamer sa carrière et, pour le lancer sur la voie de la réussite, son père lui achète deux (modestes) charges d'avocat du roi, l'une à l'amirauté de France, l'autre au siège des Eaux et Forêts. Malheureusement, les succès du jeune homme ne sont pas pléthore. D'un naturel réservé et peu loquace, Corneille ne brille pas par son éloquence dans les procès. Attentes paternelles ou non, il devient évident qu'il n'est pas fait pour la carrière d'avocat et il renonce très rapidement à plaider.

Une décision qui lui permet de se consacrer à d'autres Arts dans lesquels il se montre autrement plus talentueux. Encouragé par son jeune frère, Thomas, Corneille entreprend l'écriture d'une pièce de théâtre d'un genre nouveau qui, sans se départir du caractère pastoral et tragicomique cher au public de son temps (or, comment séduire le public sans abonder en son sens ?), libère la comédie du contrepoint défavorable dans lequel elle avait chu. Pour composer Mélite, il s'inspire de son propre vécu en mettant en scène son grand amour de jeunesse : Madame du Pont. Secrètement épris de la belle et (malheureusement pour lui) inaccessible épouse d'un des maîtres des comptes de Rouen, Corneille fait d'elle l'héroïne de sa pièce, qu'il achève en 1629.
Une chance pour lui, la même année, la troupe de Charles Le Noir est de passage à Rouen. Corneille en profite pour remettre à Mondory, comédien "vedette", le manuscrit de sa pièce. Présageant beaucoup de Mélite, Mondory convainc Charles Le Noir de la monter à Paris, au jeu de paume de Berthault : les représentations commencent en décembre 1629. Et le succès est - malgré les trois premières représentations assez médiocres - au rendez-vous. A tel point d'ailleurs que Corneille commence à faire parler de lui dans les hautes sphères du pouvoir. Pour une première pièce, c'est une réussite inespérée. Elle conforte Corneille dans sa volonté de se consacrer à l'écriture et il s'installe à Paris. Sa plume fertile et son talent théâtral incontestable lui permettent de multiplier les comédies entre 1630 et 1634, depuis Clitandre jusqu'à La Suivante. Une comédie dont il cherche à redorer le blason en l'éloignant de la farce grossière. Victime d'un discrédit poétique et social, religieux et moral, considérée comme un sous-genre, définie par la négative, la comédie, en 1630, suscite la suspicion chez la bourgeoisie et la noblesse. Or, Corneille, pour se faire un nom, a justement besoin de l'appui de ces classes. Il va donc s'inspirer des grands genres à la mode pour écrire ses comédies, tout en ayant le souci de se séparer définitivement de la vulgarité de la farce. Il s'agit pour lui de conquérir un public cultivé et urbain aussi met-il en scène des jeunes gens de bonne famille. Et la méthode fonctionne. La renommée de Corneille va croissant au début des années 1630. Ses pièces attirent un public de plus en plus nombreux et, surtout, aisé. Le succès est tel qu'en 1634, la troupe de Charles Le Noir, à laquelle Corneille continue de confier ses pièces, après avoir été promenée de théâtre en théâtre (ou, plutôt, de jeu de paume en jeu de paume) obtient le sien propre, rue Vieille du Temple. Le Théâtre du Marais devient un lieu prisé où les pièces de Corneille tiennent le haut de l'affiche et font salle comble.

La carrière de Corneille prend un tournant décisif en 1635. Non seulement il écrit sa première tragédie, Médée, marquée par une volonté évidente de refonte du genre, mais il est également choisi par le Cardinal de Richelieu, grand amateur de théâtre, pour former, avec Rotrou, Colletet, Boisrobert et l'Etoile, le Groupe des Cinq, chargé de composer des pièces pour le Cardinal. Corneille qui, malgré le succès de ses oeuvres, est dans une situation financière délicate, accepte avec empressement la proposition de Richelieu et, en mars 1635, La comédie des Tuileries est présentée devant Anne d'Autriche. Cependant, bien que les pièces écrites par le Groupe des Cinq rencontrent un succès certain à la Cour, Corneille, qui est moins payé que ses quatre confrères et qui désapprouve l'acte III de La comédie des Tuileries, se brouille avec Richelieu avant de quitter le Groupe, prétextant des obligations familiales pour mieux se retirer.
Commence alors une période de découragement pour Pierre. Déçu par Richelieu, supportant mal l'accueil plutôt froid qu'a reçu Médée, il rentre à Rouen et songe sérieusement à abandonner les Lettres. Heureusement pour l'Histoire, M. De Chalon, ancien secrétaire de Marie de Médicis, l'en dissuade et le persuade même de s'inspirer du théâtre espagnol pour relancer sa carrière. Le conseil est sage. Début 1637, après avoir étudié avec attention les oeuvres de l'espagnol Guillen De Castro, Corneille, de retour à Paris, monte Le Cid, qui connaît un succès aussi fulgurant que retentissant. A tel point, d'ailleurs, que la pièce reçoit les félicitations du couple royal et qu'elle vaut au père de Corneille d'être anobli, sur demande d'Anne d'Autriche, le 27 janvier 1637. Il n'en fallait pas plus pour susciter les jalousies jusque dans les rangs des amis de Corneille. Dès le mois de mars, Scudéry, Mairet et Claveret, anciens "fidèles" de Corneille, attaquent sans vergogne Le Cid, dans sa mise en scène et dans son argument. En bon homme de théâtre, Corneille répond à la querelle à travers une nouvelle pièce, L'excuse à Ariste, dans laquelle il affirme son mépris et son indifférence à l'égard de ses détraqueurs. Une indifférence d'autant plus aisée à conserver que Le Cid continue à plaire au public. Corneille s'attire même les faveurs de l'Académie qui, à la fin de l'année 1637, explique, dans les Sentiments de l'Académie, qu'elle ne peut en aucun cas condamner Le Cid étant donnés les qualités de la pièce et le talent certain de son auteur. L'Académie clôt ainsi (officiellement du moins) la querelle qui ébranlait le monde théâtral en mettant en minorité les "anti-Cid" et en préservant la réputation de Corneille.

Il était temps ! Car dès le début de l'année 1638, Corneille doit faire face à de nouvelles préoccupations personnelles qui auraient probablement eu raison de sa pugnacité à défendre son Cid. Obligé de protéger sa charge d'avocat du Roi suite à une réforme administrative, Corneille doit, en outre, gérer la maladie de son père qui s'affaiblit de jour en jour et décède le 12 février 1639, laissant son fils aîné seul tuteur de ses frères et soeurs encore mineurs. Les années 1638-1639 font figure de désert littéraire et social dans la vie de Corneille : isolé à Rouen, trop occupé pour écrire, ses ennemis se réjouissent déjà en le pensant fini.
Erreur ! En 1640, Corneille, de retour à Paris avec la ferme intention de rattraper le temps perdu, fait jouer sa nouvelle tragédie, Horace, au mois de mai. Intelligent, il se doute que la pièce risque de provoquer de nouvelles attaques de la part de Scudéry, aussi a-t-il pris grand soin de faire valider Horace par Richelieu et un comité de doctes, afin de couper court à toute récrimination. Fort du succès d'Horace et profitant de ce que ses détraqueurs soient en position de faiblesse, Corneille, publie, entre 1641 et 1642, Cinna et Polyceute, qui sont une franche réussite.
Parallèlement, il tombe éperdument amoureux de Marie de Lampérière, fille du lieutenant des Andelys. Il l'épouse, avec la bénédiction de Richelieu, en 1641 et, un an plus tard, le couple fait baptiser son premier enfant : Marie, qui sera suivie de cinq autres frères et soeurs.
La mort de Richelieu, le 4 décembre 1642, puis celle de Louis XIII, le 14 mai 1643, auraient pu signer la fin de la carrière de Corneille. Ce n'est toutefois pas le cas. Le cardinal de Mazarin prend très rapidement l'auteur sous sa cape rouge son aile et lui accorde même 2000 livres pour l'ensemble de ses pièces. Une faveur que Corneille apprécie à sa juste valeur : il ne manque d'ailleurs pas de remercier son bienfaiteur à travers une pièce en vers.
Bien que, depuis son mariage, Corneille soit retourné s'installer à Rouen, les années 1643 à 1647 sont riches en compositions et en succès. Corneille fait figure d'autorité dans le monde du théâtre et sa position semble définitivement bien assise. Quant aux ennemis qui pourraient lui rester, les faveurs du public ont tôt fait de les museler. L'Académie elle-même, qui avait refusé deux fois sa candidature, exprimant des réserves quant aux capacités de Pierre à siéger dans ses rangs étant donné son éloignement géographique, accepte finalement de compter Corneille parmi ses membres le 22 janvier 1647. La même année, Corneille quitte la troupe de Marais pour rejoindre celle de l'Hôtel de Bourgogne.

Mais "tout s'élève et s'abaisse au branle" de la roue de la fortune. La fronde qui éclate en 1648 rend le contexte politique peu propice aux nouvelles pièces de Corneille et l'échec de Pertharite, en 1651, le décourage profondément. Il en vient même à penser qu'il est désormais trop vieux pour le théâtre et qu'il n'y a plus sa place. Il décide alors d'abandonner sa carrière et se tourne vers la religion. Il entreprend de traduire L'Imitation de Jésus-Christ, de Thomas a Kempis, traduction qu'il achève de publier en 1656.
Il n'était cependant pas dit que les lettres de noblesse théâtrale de Corneille devaient s'arrêter là. Le 24 janvier 1659, Corneille, suite à la proposition du Surintendant Fouquet, fait représenter Oedipe. Grand bien lui en pris ! La tragédie est extrêmement bien accueillie et les années passées ne semblent plus qu'un lointain cauchemar littéraire. S'ensuivent aussitôt plusieurs pièces dont le succès ne se dément pas, tant et si bien que Corneille revient s'installer à Paris dès 1662.
Corneille n'a toutefois plus le monopole du trône théâtral. Il lui faut désormais compter avec un rival de taille, Jean Racine, dont le succès grandissant lui fait de l'ombre. Et Pierre lui-même doit reconnaître, à son grand agacement, qu'il lui faut courir pour se maintenir à la hauteur du jeune Racine. L'affrontement entre les deux hommes reste cependant latent jusqu'en 1670, chacun s'efforçant tant bien que mal de tenir l'autre éloigné de ses plates-bandes. Il fallait cependant bien qu'ils se confrontent un jour, et c'est la Princesse Henriette d'Angleterre qui est à l'origine de leur rencontre littéraire. En 1670, elle demande à Corneille et à Racine d'écrire chacun une pièce relatant les amours de Titus et de Bérénice. Racine en fait une tragédie, Corneille une comédie héroïque. La pièce de Racine l'emporte pourtant assez vite dans les faveurs du public et le jeune homme semble prendre le pas sur Corneille... Au grand dam de ce dernier !

Dès lors, Corneille publie encore quelques pièces mais il s'affaiblit rapidement, d'autant plus que la mort prématurée de deux de ses fils l'ont profondément accablé. En 1674, Suréna, présentée à l'Hôtel de Bourgogne, est la dernière tragédie qu'il écrit : son accueil mitigé a raison de la motivation fléchissante de Corneille. Il se consacre désormais à l'édition de ses oeuvres complètes. Le dernier volume de celles-ci paraît en 1682 et Corneille a alors le sentiment grandissant qu'il ne lui reste plus beaucoup de temps à vivre. Il décide donc de vendre la maison familiale de Rouen et entreprend de mettre de l'ordre dans ses affaires, allant jusqu'à brûler certains de ses documents. Soutenu par Boileau - qui n'en fut pas moins un de ses plus virulents critiques - dans les dernières années de sa vie, Corneille s'éteint à l'aube du 1er octobre 1684, à Paris.

Caractère :

D'un naturel réservé voire timide, Corneille est définitivement plus à l'aise lorsqu'il s'agit d'écrit que d'oral. Son éloquence et sa verve semblent perdre toute leur force dès qu'il prend la parole, et il se contente la plupart du temps de marmonner voire de bafouiller deux ou trois explications inaudibles. Mais dès qu'il troque la voix contre la plume, gare ! Il fait alors montre d'un caractère moqueur, parfois même cynique et d'une assurance à toute épreuve qui ne cessent d'étonner quiconque a déjà eu l'occasion de lui parler.
Peu à l'aise en société, hormis avec ses plus proches amis, Corneille n'en est pas pour autant un solitaire. Les baguenaudages contemplatifs romantiques ne sont pas encore de son temps et, s'il préfère sa province normande à l'agitation parisienne, c'est bien plus par attachement à sa terre natale que par misanthropie galopante.

Bien qu'il ne soit porté ni sur la diplomatie ni sur la conciliation, Corneille n'en mène pas moins sa barque avec une subtilité certaine. Il sait s'attirer les bonnes grâces de son entourage et, lorsqu'il doit détourner les règles théâtrales (pour ne citer qu'elles), il agit avec prudence et intelligence, tant et si bien que, la plupart du temps, le détournement est accepté. Il est même parfois source de succès pour lui. Une qualité qui ne l'empêche toutefois pas de se montrer souvent impulsif voire instinctif dans ses actions, pour le meilleur comme pour le pire. Corneille, bien que son succès repose essentiellement sur les autres, n'en tient pas moins à son indépendance intellectuelle qu'il refuse d'aliéner, quel qu'en soit le prix à payer. Un goût pour l'indépendance qui le conduit parfois à se montrer d'une franchise quelque peu brusque et à mépriser ouvertement tout ce qui se rattache à la vile flatterie. Certes, lui-même y a recours mais dans sa bouche (ou sous sa plume), la louange est toujours à double-sens.

Travailleur acharné, Corneille est également un ami loyal qui n'hésite pas à venir en aide avec bonne grâce à qui a besoin de lui. Le revers de la médaille étant qu'il attend lui-même une fidélité sans faille de la part de ses amis et qu'il a tendance à se montrer extrêment intransigeant, voire rancunier, envers ceux qui l'auraient trahi ou qui auraient pris une voie divergeant de la sienne. Il se montre d'ailleurs assez orgueilleux en ce qui concerne son "oeuvre". Il est doué, il le sait, et il n'hésite pas à le dire, tant dans les avertissements de ses pièces que dans ses discours académiques. Après tout, on n'est jamais aussi bien servi que par soi-même et Corneille l'a bien appris, au cours de son existence. Solidarité, certes, mais mieux vaut-il éviter de trop compter sur autrui. Anxieux, il considère toujours avec une certaine méfiance les nouveaux venus qui lui sont présentés et réserve son jugement à leur sujet.

Sans conteste intelligent, Corneille est également un fin observateur qui se plaît à analyser son monde pour mieux le mettre en scène par la suite. Il tient à la vraisemblance théâtrale et cette vraisemblance passe, à ses yeux, par la reconnaissance des personnages. D'une certaine manière, il est d'autant plus observateur qu'il n'est pas beau parleur, ce qui lui laisse pleinement le loisir d'étudier ses contemporains.
Passionné par le monde du théâtre, Corneille est un fervent défenseur de son art.

Signes particuliers :

Hormis une propension certaine à parler en alexandrins au moment le moins opportun, aucune.
Généalogiquement parlant, Corneille est l'oncle de Fontenelle et l'ancêtre direct de Charlotte Corday.
Oh ! Et évitez de lui parler de Racine, bien entendu.

Acteur/actrice sur l'avatar : Billy Crudup

En espérant n'avoir rien zappé...

Sincèrement: :bravo: Très belle fiche très complète!! seul bémol, le vava... tous les historiques renaissent âgés entre 25 et 30 ans... là.... même si j'admire claude Rich, il fait une peu vieux, non? On va se mettre en chasse

Gnignigni, j'avoue avoir eu une minute d'hésitation (note, le fait que Louix XIV ait l'air vachement jeune pour son âge de mort aurait dû me mettre la puce à l'oreille. Pas douée je suis !).
(Pourtant j'ai vraiment lu le réglement. Quelqu'un pourrait me remettre le boulet d'or ?).
Je pars chasser et je fais signe quand j'ai trouvé

pas de souci. On trouvera bien de quoi te vêtir dignement.

Bon, après recherche d'un type "qui a tourné dans un film XVIIème siècle mais qui ne joue ni Louis XIV, ni Molière" et autres réjouissances du même genre, je me suis dit que finalement, Billy Crudup, malgré ses vêtements de dévergondé cowboy ferait peut-être l'affaire, non ?
*Grand sourire commercial*

je vous adopte illico sieur Corneille. Bienvenue chez vous

Que dire?...Me voici ébahie d'admiration, je vous souhaite la bienvenue parmi nous, oh, illustre Corneille! (relit le Cid en vitesse!)

Sans vous connaître, Monsieur, je ne puis qu'applaudir votre talent!

Bienvenue parmi nous, en cet étrange univers en folie!

Bienvenue parmi nous et amusez-vous bien chère poète

Oh un nouveau et de surcroit un auteur, bienvenue parmi les illustres personnalités du forum

Validé

Un grand merci ! =)
Et merci également pour l'accueil ! =)

Bienvenue cher auteur! j'ai eu l'occasion de me pencher sur vos oeuvres sublimes!

Mince, encore un que je ne connais pas! Mais, sois le bienvenu parmi nous, Pierre!

chouette, hibou, athena! un nouveau! youpiee! sois le bienvenu

rôôôô un new body!

bienvenue! amuse-toi bien :wow: