Einstein Albert

Nom : Einstein
Prénom : Albert

Date de naissance : 14 mars 1879

Métier : Physicien, chercheur

Histoire de votre personnage :

Je suis né à Ulm un certain 14 mars 1879, trois ans après l’union de Hermann Einstein avec Pauline Koch. Je fis rapidement deux découvertes : la boussole à cinq ans et la rigueur scientifique dans un livre, La Petite Bible de la géométrie, à treize ans.
Cela marqua profondément ma petite personne.

J’entrai à l’École polytechnique fédérale de Zurich en 1896. Je m’y liai d’amitié avec le mathématicien Marcel Grossmann, qui m’aidera plus tard quand j’entrerai aux prises avec les géométries non-euclidiennes. J’y rencontrai aussi Mileva Maric, ma première épouse.
Obtenant mon diplôme en 1900, je lisais beaucoup : pendant cette époque, j’approfondis presque exhaustivement d’excellents livres de référence, comme ceux de Boltzmann, de Helmholtz et de Nernst. Mon ami Michele Besso m'initia aux idées de la Mécanique de Ernst Mach.

Je dus ramer pour obtenir un emploi. Ma misère préoccupa énormément mon père qui essaya en vain de m’aider. Je me résignai à oublier l’université pour chercher un travail administratif. En 1901 , je publiai mon premier article scientifique dans les Annalen der Physik sur la capillarité.
Quatre ans plus tard, alors que j’avais décroché un emploi à l’office des brevets de Berne, j’ai publié quatre articles qui ouvrent de nouvelles voies dans la recherche en physique nucléaire et mécanique céleste qui me valurent la reconnaissance de mes pairs, quelques années plus tard. C’est fou ce qu’un peu de notoriété implique. On m’invitait partout et on me proposait des emplois très séduisants. J’ai été à une conférence en Belgique, en 1911 et y ai rencontré entre autres Marie Curie, Max Planck et Paul Langevin.

Nommé à l’Académie des sciences de Prusse en 1913, je dus endosser la citoyenneté prussienne, en plus de la citoyenneté suisse.
En 1914, j’ai déménagé pour l’Allemagne qui m’offrait la possibilité d’étendre mes recherches. Je n’ai pas pu m’empêcher de clamer mes opinions pacifistes à cette époque.
Ah… Berlin (soupir) ! On m’avait promis une maison, on me donna seulement le terrain. C’était un bel endroit près du lac de Havelsee, où j’ai souvent pratiqué de la voile.

Mon grand œuvre sur la relativité a été publié en 1916. J’en ai obtenu des distinctions honorifiques à partir de là. Ma modestie m’empêche de les citer toutes. Hélas, toute médaille à ses revers. Dès 1920, on a commencé à me traiter de juif pacifiste. J’ai senti d’où le vent venait surtout quand ma maison a été pillée par les Nazis. C’est à ce moment que j’ai fait un pied de nez à l’Allemagne. Les Etats-Unis m’ouvraient de nouveaux horizons.

A Princeton j’ai tenté de lier la gravitation à l’électromagnétisme mais ça n’a pas marché comme je le voulais. Mais qu’est-ce qui m’a pris d’écrire à Roosevelt ? Sans moi, le projet Manhattan n’aurait pas vu le jour et la bombe H n’aurait pas été créée… J’ai tenté d’empêcher cette monstruosité, je vous le jure mais on ne m’a pas écouté. Je ne me suis jamais remis de cette erreur monumentale.

Sans limite, après cette guerre débile, je me suis dépensé dans des actions pacifistes et socialistes. Je me suis fait défenseur de ceux que l’on jugeait arbitrairement tels les Rosenberg et j’ai aidé pas mal de gens à émigrer aux States. J’ai protesté dans de nombreuses affaires mais fus peu suivi, hélas.
J’aurais pu devenir Président du nouvel Etat d’Israël ! Non mais, pour qui me prenait-il, ce Ben Gourion pour me proposer ça ? S’imaginait-il vraiment que j’allais signer des trucs que je désapprouvais ? D’ailleurs si je connais certains secrets de l’univers, je ne connais que peu les êtres humains.

Ah, j’ai omis de parler de ma vie sentimentale… C’est parce que je n’en suis pas très fier. Je courais le jupon, eh oui ! Ma liaison avec Mileva Marik m’apporta une fille mais nous étions trop dans la dèche à ce moment et nous l’avons abandonnée, pauvre enfant… J’ai quand même épousé Mileva mais ça n’a plus jamais été pareil entre nous. Elle me donna pourtant deux fils dont l’un était « fou » ? L’autre a bien tourné.
Après m’être séparé de Mileva, j’ai fréquenté Esla que j’ai épousée aussi mais lui ai fait la vie dure, je le reconnais, puis… tant d’autres.
Vers la fin de ma vie, je suis devenu végétarien complet. Depuis longtemps je trouvais ça plus sain mais ne pouvait déroger aux principes de ceux qui m’invitaient.
Je suis mort en 1955, le 18 avril. De quoi ? Je l’ignore, c’est venu d’un coup ( * Albert est mort d’une rupture d’anévrisme)


Caractère :

On a dit de moi que j’étais un pacifiste socialiste et c’est vrai. J’aime l’égalité et suis contre l’apartheid. Je suis un curieux de nature et je dirais que je suis assez obstiné.
J’aime régenter mon monde et si quelqu’un peut faire les tâches subalternes à ma place, je ne demande pas mieux. Sinon, ben… je suis assez modeste et réservé. Je m’emporte rarement. Je déteste les hypocrites et tous ceux qui se croient au-dessus des autres. Je suis pour la justice et l’égalité des chances. On me dit lunatique et rêveur, c’est vrai qu’une fois que j’ai une idée dans la tête, j’oublie tout le reste. J’ai pas mal d’humour aussi, je sais me montrer très courtois, surtout avec les jolies femmes pour autant qu’elles aient quelque chose dans la tête.
Je suis mélomane, à mes heures. Le violon est ma passion. La musique détend beaucoup, comme le sport. Les longues balades de m’effrayent pas, j’adore aussi la voile à l’occasion.
Inutile de le dire mais je le dis quand même, je suis un bourreau du travail.


Signes particuliers : j'aime tirer la langue quand on m'ennuie.

Acteur/actrice sur l'avatar : Giovanni Ribisi

Bienvenue !!

Bienvenue! Il était temps pour ta fiche... Non, ce n'est pas grave. Nous avons tous une vie hors forum, t'inquiète.

Magnifique fiche et tu cerne bien le personnage XD


Mais si il a écrit à Roosevelt c'est parce que les scientifiques d'allemagne état déjà sur le chemin de la bombe atomique il a seulement aidé les americains à en avoir aussi (le vilain)...

Mais c'ets vrai qu'il s'en est voulu toute sa vie oO